Je crois sincèrement que l’art n’est rien s’il n’est pas partagé

« Je peins par passion. Il faut que la toile vierge m’appelle, que l’envie de peindre devienne un besoin presque physique. Alors, la main alliée à la matière commence le chemin des couleurs et des contrastes. Les sentiments, les émotions passent de l’être à la toile spontanément, sans calcul, sans pensée… »

Éric Dubarry vit en France, Normandie. Artiste international, la peinture est pour lui plus qu’un métier, c’est une passion. Sensitif, ses œuvres sont spontanées, chargées
émotionnellement, intenses, fortes, vivantes…

STYLE

Sous ses mains, né le SCRATCHING…

Son travail contemporain est né de l’Abstrait Lyrique à partir duquel il élabore un style personnel et unique, alimenté par une technique qui lui est propre et qu’il nomme le SCRATCHING.

« Dans mon interprétation de l’abstrait lyrique, je revendique une écriture picturale prônant l’évolution vers le langage abstrait des émotions à travers la couleur et la gestuelle. Le geste, qui demeure bien au-delà de la toile, est souvent porté par mes émotions, mes sentiments. 

Il y a dans mon inspiration, quelque chose en prise directe avec la nature, le bruissement du vent dans les feuilles, la plainte d’un cétacé sous les océans… Source infinie d’inspiration, la nature ne s’inscrit pas en moi comme une image, mais comme une sensation.

Mon travail prend ses racines dans l’abstraction lyrique, (créé notamment par Georges Mathieu et Jackson Pollock dans les années 40), à partir duquel j’ai élaboré une technique singulière qui identifie mon style le « Scratching » (comme existent par ailleurs le Dripping, le Tubisme, le Brushing, etc..).

Cette technique associée à ma gestion des couleurs consiste à révéler, en griffant la peinture, les couleurs contrastées des couches inférieures.

Le Scratching allié au mélange des teintes et aux mouvements amples et spontanés, clairement imprimés dans la toile, rend mon style original, unique, identifiable… C’est un courant inexploré, en passe de devenir une évidence…

Je suis admiratif des grands peintres comme Simon Hantaï dans sa peinture aléatoire, ou Joan Mitchell avec laquelle je partage une forme de « captation et de mémoire des émotions », et de son compagnon, Jean-Paul Riopelle.

Biensur Claude Monet, Joan Miró, Fernand Léger et l’immense Marc Chagall sont pour moi de réelles références.

Mais je citerais ici l’approche d’un peintre cher à mon cœur, Vassily Kandinsky :

– Le monde intérieur de la non-figuration doit permettre d’agir directement sur l’âme du spectateur, afin de la faire vibrer, comme la musique le fait avec les sons. La suppression du référent figuratif est précisément pensée par le peintre comme un mode d’accès direct à la sensibilité́ du spectateur –

Mes œuvres véhiculent souvent des interrogations, des émotions, un émerveillement auprès des visiteurs… »

Eric Dubarry ne peint pas des tableaux, il créé des univers desquels émane une force, une vie… Ses outils griffent la peinture mettant en exergue les contrastes et les mouvements, gravés physiquement dans la peinture.

Ces œuvres établissent une conversation avec le visiteur, l’invitant à un voyage à la fois introspectif et imaginaire. Certaines de ses toiles sont proposées et vendues aux enchères chez DROUOT.

Éric Dubarry a de nombreux projets en cours. Tant au niveau des galeries et salons en France et à l’international, que d’expositions/ventes privées, ainsi que dans le cadre d’actions caritatives auprès d’écoles et d’associations pour la recherche, l’enfance, la santé…